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La nationalisation littéraire de l'œuvre de Marie Le Franc

La littérature nationale

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La rénovation de l'histoire littéraire passe par la réévaluation de la place du lecteur dans le processus de communication littéraire.

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Literatur

  1. Albert Pelletier,Carquois, Montréal, Librairie d'Action canadienne-française, 1931, p. 8.

  2. Maurice Hébert, «Au tournant romanesque de nos lettres.La Chair décevante» inle Canada français, vol. 19, no 5, janvier 1932, p. 375.

  3. Albert Pelletier,Carquois, Montréal, Librairie d'Action canadienne-française, 1931, p. 7.

  4. Jules Léger,Le Canada français et son expression littéraire, Paris, Librairie Nizet et Bastard, 1938, pp. 16–17.

  5. Montréal, La Compagnie d'Imprimerie Perrault, 1920, p. 5.

  6. Louis Gauchon, «L'Œuvre des nôtres, Marie Le Franc» inl'École libératrice, 3e année, no 18, 30 janvier 1932, p. 389.

  7. E. Voldeng, «La Quête de l'absolu» inJournal of Canadian Fiction, nos 25–26, 1979, p. 286.

  8. Robert Choquette, «Préface» in Paulette Collet,Marie Le Franc. Deux patries, deux exils, Sherbrooke (Québec), Naaman, 1976, p. 14.

  9. André Lebois, «Marie Le Franc, l'étrangère...» inCorymbe, 5e année, no 30, mai–juin 1936, p. 471.

  10. Yvan McDonald, «Marie Le Franc,Pêcheurs de Gaspésie» inLectures, vol. 10, no 5, janvier 1964, pp. 117–118.

  11. Entre autres in Léon Treion, «Une nouvelle romancière. Marie Le Franc» inles Nouvelles littéraires, no 264, 5 novembre 1927, p. 4 et Louis-Frédéric Lefèvre, «De vous à moi... Marie Le Franc» inla Voix, 2e année, no 147, 9 mars 1930, p. 4.

  12. Lucie Touren, «Les Voix de misère et d'allégresse par Marie Le Franc» inla Revue moderne, 15 avril 1924, p. 15.

  13. Annette La Salle, «La Vie littéraire. Marie Le Franc et le pays canadien» inle Canada, 21 mars 1932, p. 8.

  14. Sully-André Peyre, «Choses lues» inMarsyas (Aigues-Vives), 8e année, no 89, mai 1928, p. 416.

  15. Benoît Lacroix, «Paulette Collet,Marie Le Franc. Deux patries, deux exils» inVoix et Images, vol. 2, no 3, avril 1977, p. 447.

  16. Paulette Collet,Marie Le Franc. Deux patries, deux exils, Sherbrooke (Québec), Naaman, 1976, p. 174.

  17. «Nostalgie du Canada en Bretagne, regret de la Bretagne au Canada!» in Paulette Collet, 1976, p. 111.

  18. Elle a ainsi «pu s'attacher à deux pays» in Adrien Thério, «Entrevue avec Madeleine Ducrocq-Poirier» inles Lettres québécoises, no. 18, été 1980, p. 62.

  19. Pierre Daviault, «Critique littéraire.La Rivière solitaire par Marie Le Franc» in le Droit, 9 mai 1935, p. 3.

  20. Robert Kemp, «Les Lettres.Grand-Louis l'Innocent» inRevue universelle, tome XXXI, no 17, ler décembre 1927, p. 610.

  21. Robert Choquette, «Préface» in Paulette Collet,Marie Le Franc. Deux patries, deux exils, Sherbrooke (Québec), Naaman, 1976, p. 121.

  22. Paulette Collet, 1976, pp. 58–59. De même à la p. 168: «elle semble tout de même avoir préféré la forêt à la mer».

  23. Sully-André Peyre, «Marie Le Franc» inMarsyas (Augues-Vives), 15e année, no 171, mars 1935, p. 801.

  24. in Adrien Thério, été 1980, p. 64.

  25. Adrien Thério parle du «cycle des romans de la mer (surtout bretons) et <du> cycle des romans de la terre (québécois)» in «Marie Le Franc» inles Lettres québécoises, novembre 1976, p. 26, ce qui doit être tenu comme une position marginale, étant donné que les autres critiques soulignent plutôt l'originalité de Marie Le Franc qui écrivait surla forêt alors que la plupart des romanciers parlaient alors dela terre.

  26. Marie Le Franc écrivait en 1920: «La mer est la plaine bretonne» inles Voix de cœur et de l'âme, Montréal, La Compagnie d'Imprimerie Perrault, 1920, p. 74.

  27. Robert Choquette, «Préface» in Paulette Collet,Marie Le Franc. Deux patries, deux exils, Sherbrooke (Québec), Naaman, 1976, p. 112.

  28. On retrouve dans le tome II:Au pays canadien-français, Grand-Louis Revenant, Grand-Louis l'Innocent, Hélier, fils des bois, Pêcheurs de Gaspésie, La Randonnée passionnée, La Rivière solitaire, Visage de Montréal et les deux recueils de poésie. Dans le tome III:Dans la tourmente, Enfance marine (sans article dans le corps du texte),Le Fils de la forêt et Ô Canada! Terre de nos aïeux! Maurice Lemire [dir.],Dictionnaire des œuvres littéraires du Québec, Montréal, Fides, tome II, 1987, p. 1230; tome III, 1982, p. 1131.

  29. Sœur Marie-Véronique,Marie Le Franc, auteur canadien, Thèse de maîtrise ès arts, Montréal, Université de Montréal, 1960, p. 106.

  30. Marcel Raymond, «Marie Le Franc et la flore canadienne.I» inle Devoir, vol. XIII, no 180, 3 août 1940, p. 10.

  31. Raymond Douville, «Marie Le Franc en Mauricie» inCorymbe, 5e année, no 30, mai–juin 1936, p. 445.

  32. Adrien Thério, novembre 1976, p. 26.

  33. René Lalou, «Le livre de la semaine.Enfance marine par Marie Le Franc» inles Nouvelles littéraires, 17 septembre 1959, p. 3.

  34. Roger Vercel, «Terres vierges, âmes inexplorées. Marie Le Franc et la connaissance de l'Ouest» inles Nouvelles littéraires, 13 février 1937, p. 3.

  35. Victor Barbeau, «Marie Le Franc et nous» inla Presse, vol. LXXXI, no 12, 16 janvier 1965, section Arts et Lettres, p. 3.

  36. Adrien Thério, «Entrevue avec Madeleine Ducrocq-Poirier» inles Lettres québécoises, no 18, été 1980, p. 62. Elle écrit aussi: «La littérature française et la littérature québécoise se devaient donc à cette occasion <le centenaire de sa naissance> d'honorer sa mémoire» inMarie Le Franc. Au-delà du personnage, 1981, p. 7.

  37. Robert Choquette, «Préface» in Paulette Collet,Marie Le Franc. Deux patries, deux exils, Sherbrooke (Québec), Naaman, 1976, p. 11–12.

  38. Auguste Bailly, «La Chronique des livres. Le Prix Femina: Marie Le Franc» inCandide, no 196, 15 décembre 1927, p. 4.

  39. Robert de Saint-Jean, «Le Prix Femina.Grand-Louis l'Innocent, parMme Marie Le Franc» inla Revue hebdomadaire, 36e année, tome XII, 17–24 décembre 1927, p. 479.

  40. [Anonyme], «Nouveau roman de Marie Le Franc» inl'Émérillon, novembre-décembre 1936, p. 46.

  41. Dans une lettre datée du 30 juin 1934, Louvigny de Montigny écrit à Honoré Mercier: «Et tu sais aussi que cette brave Bretonne, qui est devenue Canadienne jusqu'aux moelles, saisit depuis vingt ans toutes les occasions pour célébrer “le pays de Québec”. Pour tout te dire, je dois ajouter que les Canadiens français, selon leur habitude, ont bien mal reconnu le dévouement que Marie Le Franc a témoigné pour “ce pays de Québec”, en manifestant la plus belle indifférence pour ses livres» Citée in Madeleine Ducrocq-Poirier,Marie Le Franc. Au-delà du personnage, 1981, p. 66.

  42. Victor Barbeau, «Marie Le Franc et nous» inla Presse, vol. LXXXI, no 12, 17 janvier 1965, sections Arts et lettres, p. 3.

  43. Rina Lasnier, «Notre Marie Le Franc» inles Carnets viatoriens, vol. XVI, no 1, janvier 1949, p. 31.

  44. Notons toutefois que Marie Le Franc n'apparaît ni dans la partie «littérature française» ni dans celle de la «littérature québecoise» de l'Histoire des littératures. Tome III. Littératures françaises, connexes et marginales sous la dir. de Raymond Queneau, Paris, Gallimard nrf Pléiade, 1958, 2112 p.

  45. Berthelot Brunet, «L'autre Montréal» inl'Ordre, 9 février 1935, p. 4.

  46. Julia Richer, «Le Fils de la forêt de Marie Le Franc» inNotre Temps, vol. XII, No 35, 28 juin 1952, p. 3.

  47. Olivar Asselin, «Les Choses tu temps. [...] Marie Le Franc» inle Canada, 6 mars 1931, p. 4.

  48. Henri Girard, «Deux livres de Marie Le Franc» inle Canada, 14 mars 1935, p. 2.

  49. Lucien Parizeau, «Les idées et les faits. I. Sur un livre de Marie Le Franc» inl'Ordre, 31 janvier 1935, p. 1.

  50. Albert Pelletier, «Grand-Louis le Revenant de Marie Le Franc» inle Canada, 18 juin 1933, p. 2.

  51. «Bien que refusant d'être distraite de son travail, elle accepta néanmoins de participer le 13 juin 1937 à Rennes à la fondation de l'Académie de Bretagne avec vingt-deux autres écrivains bretons d'origine ou par leur œuvres. [...] le président <était> Roger Vercel (prix Goncourt) et le premier vice-président, Marie Le Franc (prix Femina).» in Madeleine Ducrocq-Poirier, 1981, p. 80.

  52. Georges Altman, «Les Livres.Grand-Louis l'Innocent» inl'Humanité, 27 novembre 1927, p. 4.

  53. Jean Malan, «Grand-Louis l'Innocent, par Marie Le Franc» inles Cahiers du Sud, janvier 1928, p. 79.

  54. Edmond Jaloux, «L'Esprit des livres [...].Grand-Louis l'Innocent, par Marie Le Franc» inles Nouvelles littéraires, 6e année, no 270, 17 décembre 1927, p. 3.

  55. Élie Richard, «Les Livres nouveaux... et les hommes. Romanciers. Marie Le Franc» inParis-Soir, 5e année, no 1536, 20 décembre 1927, p. 5.

  56. «Par le cadre d'abord, la Bretagne des landes, de la mer, de l'épouvante et de la nuit» in Jacques Nanteuil, «Les Livres» inle Domaine (Le Havre), 15 février 1928, p. 160; «[...] le décor qui est le sien, sur ces landes qui bordent l'océan breton» in Louis Martin-Chauffier, «Chronique des romans.Grand-Louis l'Innocent, par Marie Le Franc» inMarges, tome XL, 24e année, no 162, ler décembre 1928, pp. 274–275; «Le pays breton est le décor» in Les Treize [pseudonyme], «Les Lettres [...]Le Geste [sic] sur la dune» inl'Intransigeant, 49e année, no 17 850, 3 septembre 1928, p. 2.

  57. Georges Altman, «Les Livres.Grand-Louis l'Innocent» inl'Humanité, 27 novembre 1927, p. 4.

  58. Stéphane Faye, «Dans l'île» inCorymbe, 5e année, no 30, mai–juin 1936, p. 470.

  59. Louis Martin-Chauffier, «Chronique des romans,Grand-Louis l'Innocent, par Marie Le Franc» inMarges, tome XL, 24e année, no 162, ler décembre 1927, pp. 274–275.

  60. «Le grand poète celtique qu'est Marie Le Franc» in Simone Ratel, «Grand-Louis le Revenant par Marie Le Franc. Vagabondage dans l'au-dela» inComœdia, 24e année, no 6399, 25 juillet 1930, p. 1.

  61. Raymond Douville, «Marie Le Franc en Mauricie» inCorymbe, 5e année, no 30, mai–juin 1936. p. 443.

  62. Paulette Collet,Marie Le Franc. Deux patries, deux exils, Sherbrooke (Québec), Naaman, 1976, p. 51–52.

  63. Paulette Collet,Marie Le Franc. Deux patries, deux exils, Sherbrooke (Québec), Naaman, 1976, p. 51–52.

  64. Paulette Collet,Marie Le Franc. Deux patries, deux exils, Sherbrooke (Québec), Naaman, 1976, p. 172–173.

  65. Sully-André Peyre, «Marie Le Franc» inMarsyas (Aigues-Vives), 17e année, no 194, février 1937, p. 921.

  66. Madeleine Ducrocq-Poirier, 1981, pp. 50–51.

  67. Marie Le Franc, «Chant canadien» inla Revue populaire (Montréal), octobre 1930, pp. 15–17 et repris inAu pays canadien-français.

  68. Pour Paulette Collet, 1976, p. 36, c'est lorsqu' «elle découvre la forêt, ‘que’ Marie Le Franc cesse d'être une étrangère, une exilée.»

  69. [Anonyme], «Visages de Montréal, nouvelles de Marie Le Franc» inl'Ordre, 25 janvier 1925, p. 4 et repris inle Canada, vol. XXXII, no 247, 26 janvier 1935, p. 2; inLe Courrier de Saint-Hyacinthe, vol. 82, no 49, ler février 1935, p. 3 et inl'Action catholique, vol. XXVIII, no 8681, 4 février 1935, p. 4.

  70. Rina Lasnier, «Notre Marie Le Franc» inles Carnets viatoriens, vol. XVI, no 1, janvier 1949, p. 24.

  71. Lettre de Marie Le Franc à Robert France datée du 14 août 1927 citée in Paulette Collet, 1976, p. 35.

  72. Louis Dantin, «Grand-Louis l'Innocent par Mlle Marie Le Franc» inle Canada, 23 février 1928, p. 4.

  73. Sœur Marie-Véronique, 1960, p. ix.

  74. Encore aujourd'hui, Marie Le Franc est oubliée duDictionnaire canadien des noms propres de Michel Veyron, Sillery (Québec), Larousse Canada, 1989, 757 p. et elle est classée avec Georges Bugnet et Maurice Constantin-Weyer, parmi les «originaux, envoûtés, [...] marginaux» par Laurent Mailhot,La Littérature québécoise, Paris, Puf «Que sais-je?», 1974, p. 53. Pour Madeleine Ducrocq-Poirier, cet oubli vient du fait «qu'aucun travail approfondi, aucun livre d'envergure ne lui a encore été conscré» in Adrien Thério, «Entrevue avec Madeleine Ducrocq-Poirier» inles Lettres québécoises, no 18,été 1980, p. 64.

  75. Robert Rumilly, «Hélier, fils des bois par Marie Le Franc» inle Canada, 25 novembre 1930, p. 4.

  76. «Littérature canadienne. Quelques livres de chez nous.Visages de Montréal» inle Canada français, juin 1935, p. 1018.

  77. E. B., «Bibliographie. Marie Le Franc,Visages de Montréal» inRevue de l'Université d'Ottawa, avril-juin 1937, pp. 252–253.

  78. Raphaëlle-Berthe Guertin, «Un livre de Marie Le Franc» inle Bien public, 25 avril 1935, p. 12.

  79. Jeanne [pseudonyme de Métivier, Jeanne], «Les Livres,Visages de Montréal par Marie Le Franc» inle Devoir, vol. XXVI, no 15, 19 janvier 1935, p. 5.

  80. Berthelot Brunet, «L'Autre Montréal» inl'Ordre, 9 février 1935, p. 4.

  81. Mais il écrit en même temps qu'on la tient «encore pour une étrangère. Assez, en tout cas, pour que les Canadiens lui accordent l'attention qu'ils refusent à leurs écrivains.» Pierre Daviault, «Critique littéraire.Visages de Montréal par Marie Le Franc» inle Droit, 14 février 1935, p. 3.

  82. Montréal et Paris, Fides, 1961, p. 8.

  83. Louis Dantin, «Les Voix du cœur et de l'âme de Marie Le Franc» inla Revue moderne, 15 avril 1921, pp. 12 et 15.

  84. Madeleine Ducrocq-Poirier, 1981, pp. 26–27.

  85. «Il faut admettre que celle-ci ‘la littérature québécoise’ est encore dans son enfance en 1925, lorsque paraît la première édition deGrand-Louis l'Innocent, et même en 1934, alors que Marie Le Franc avait déjà écrit ses meilleurs ouvrages.» in Paulette Collet, 1976, p. 30.

  86. Sully-André Peyre, «Marie Le Franc» inMarsyas (Aigues-Vives), 15e année, no 171, mars 1935, p. 802.

  87. Hector Talvart et Joseph Place,Bibliographie des auteurs modernes de langue française (1801–1953), Paris, Éditions de la Chronique des Lettres françaises, 1954, tome XII, p. 110.

  88. Madeleine Ducrocq-Poirier, 1981, p. 94.

  89. Léo-Paul Desrosiers. «Préface» inla Rivière solitaire, Montréal, Fides, 1957, p. 10.

  90. Lettre de Rina Lasnier à Marie Le Franc datée du 2 avril 1962 citée in Madeleine Ducrocq-Poirier, 1981, p. 210.

  91. NDLR, «La Rivière solitaire» inles Cahiers de la Nouvelle-France, no 4, janvier–mars 1957, p. 325.

  92. Roger Vercel, «Terres vierges, âmes inexplorées. Marie Le Franc et la connaissance de l'Ouest» inles Nouvelles littéraires, 13 février 1937, p. 3.

  93. «Le jour où ils ‘nos écrivains’ auront compris les leçons de cette femme, un grand pas sera fait dans notre littérature.» écrit Raymond Marcel, «Marie Le Franc et la flore canadienne. I» inle Devoir, vol. XIII no 192, 17 août 1940, p. 12. Cette opinion sera contestée par un lecteur duDevoir, qui réplique: «Il semble que M. Harry Bernard n'a pas attendu Mme Le Franc pour ouvrir les yeux.» Ferrier Chartier, «Lettres auDevoir. Réponse à M. Marcel Raymond» inle Devoir, vol. XXXI, no 198, 24 août 1940, p. 9.

  94. «Bien avant Gabrielle Roy», écrit Paulette Collet, 1976, p. 169.

  95. Citée par Paulette Collet,Marie Le Franc. Deux patries, deux exils, Sherbrooke (Québec), Naaman, 1976, p. 103–104.

  96. Madeleine Ducrocq-Poirier, 1981, p. 127.

  97. Madeleine Ducrocq-Poirier. «Les images fondamentales de la littérature québécoise dans les romans de Marie Le Franc» inÉtudes canadiennes, vol. VI, no 8, juin 1980, p. 61.

  98. Berthelot Brunet, «Remarques surla Rivière solitaire» in l'Ordre, 16 février 1935, p. 4.

  99. Roger Duhamel, «La Vie des lettres. [...] Réédition dela Rivière solitaire, de Marie Le Franc» inla Patrie, vol. XXIV, no 8, 23 février 1958, p. 34.

  100. Valdombre [pseudonyme de Grignon, Claude-Henri], «La Vie littéraire. Le dernier livre de Marie Le Franc» inle Canada, vol. XXIX, no 225, 28 décembre 1931, p. 7.

  101. Julia Richer, «La Randonnée passionnée de Marie Le Franc» inNotre Temps, vol. XVII, no. 20, 24 mars 1962, p. 5.

  102. [Anonyme], «La Randonnée passionnée par Marie Le Franc» inNotre Temps, vol. XVII, no22, 7 avril 1962, p. 5.

  103. Patrick Imbert, «Les Livres à revisiter.Grand-Louis l'Innocent ou le Rejet du faux» inles Lettres québécoises, novembre 1976, p. 31.

  104. Adrien Thério, «A retenir pour vos lectures. Notre premier Femina» inles Lettres québécoises, septembre 1978, p. 69.

  105. Raymond Marcel, «Marie Le Franc et la flore et la flore canadienne. II» inle Devoir, vol. XIII, no 186, 10 août 1940, p. 10.

  106. Adrien Thério, «Marie Le Franc» inles Lettres québécoises, novembre 1976,p. 26.

  107. Pierre Daviault, «Critique littéraire.La Rivière solitaire par Marie Le Franc» inle Droit, 9 mai 1935, p. 3.

  108. Souche Vital [pseudonyme de Grignon, Claude-Henri], «La Vie de l'esprit. La littérature française.La Randonnée passionnée» inEn Avant!, 15 janvier 1937, p. 2.

  109. «La Vie littéraire. Le dernier livre de Marie Le Franc» inle Canada, vol. XXIX, no 225, 28 décembre 1931, p. 1.

  110. Henry Bidou, «Le Mouvement littéraire.La Rivière solitaire» inRevue de Paris, 1 er février 1935, p. 698.

  111. Charles Bourdon, «Les Romans. Marie Le Franc,La Rivière solitaire» inla Revue des lectures, XXIIIe année, no 2, 15 février 1935, p. 169.

  112. Edmond Jaloux, «L'Esprit des livres. [...]La Rivière solitaire, par Marie Le Franc» inles Nouvelles littéraires, no 641, 13e année, 26 février 1935, p. 5.

  113. Raymond Escholier, «Deux livres de femme. [...]Hélier, fils des bois par Marie Le Franc» inle Petit Journal, no 24519, 4 mars 1930, p. 4.

  114. [Anonyme], «Le dernier roman de Marie Le Franc analysé par Maurice Constantin-Weyer» inle Nouvelliste, 15, mars 1930, p. 8.

  115. John Charpentier, «Revue de la quinzaine.La Rivière solitaire» inMercure de France, 46e année, tome XXLX, no 888, 15 juin 1935, p. 590.

  116. Marie Jade, «Livres de femmes» inRappel, 59e année, no 20818, 20 novembre 1927, p. 3.

  117. Léo-Paul Desrosiers, «Préface» inla Rivière solitaire, Montréal, Fides, 1957, p. 8.

  118. Les romans de Jacques Godbout, comme ceux de Robert Lalonde, sont encore souvent comparés àMaria Chapdelaine dans la presse parisienne.

  119. Berthelot Brunet, «Remarques surla Rivière solitaire» inl'Ordre, 16 février 1935, p. 4.

  120. Pierre Daviault, «Critique littéraire.La Rivière solitaire par Marie Le Franc» inle Droit, 9 mai 1935, p. 3.

  121. Jean-Charles Harvey, «Critique littéraire. Une opinion surGrand-Louis l'Innocent» inla Revue moderne, vol. IX, no9, juillet 1928, p. 9.

  122. Louise Martial, «Prix Femina — Vie heureuse 1927.Grand-Louis l'Innocent par Marie Le Franc» inPoint et Virgule, no 4, février 1928, p. 22.

  123. «L'auteur deGrand-Louis l'Innocent néglige beaucoup plus que ces devanciers <Louis Hémon et Maurice Constantin-Weyer> l'intérêt romanesque» Jacques Carton, «Bibliographie.La Rivière solitaire par Maire Le Franc» inla France militaire, 28 mars 1935, p. 2; «Ce qui manque à Rose-Aimée, et qui granditMaria Chapdelaine, c'est une détresse intérieure.» Lucien Parizeau, «Les Idées et les Faits. I. Sur un livre de Marie Le Franc» inl'Ordre, 31 janvier 1935, p. 2 et «Autant le roman canadien d'Hémon est net, sobre, décisif, autant le roman breton de Mlle Le Franc est trouble et vague.» Jacques Nanteuil, «Les Livres» inle Domaine (Le Havre), 15 février 1928, p. 161.

  124. “Le roman de cet écrivain de race <Grand-Louis l'Innocent> fut accueilli avec autant de faveur que laMaria Chapdelaine de Louis Hémon.» Hector Talvart et Joseph Place,Bibliographie des auteurs modernes de langue française (1801–1953), Paris, Éditions de la Chronique des Lettres françaises, 1954, tome XII, p. 110.

  125. «Aucune page de Louis Hémon ne m'a jeté, aussi violement, en pleine figure, le parfum d'érables et de “bois franc” qui est celui de la province de Québec.» Maurice Constantin-Weyer, «Le dernier roman de Marie Le Franc» inle Nouvelliste, 15 mars 1930, p. 8; «Certes, le roman de Louis Hémon avait de la fraîcheur, de l'ingénuité, mais il manquait de bien des qualités qui font le charme et la valeur deGrand-Louis l'Innocent.» M.O., «Marie Le Franc,Grand-Louis l'Innocent» inDivan, 20e année, janvier 1928, p. 40.

  126. Rinna Lasnier, «Notre Marie Le Franc» inles Carnets viatoriens, vol. XVI, no 1, janvier 1949, p. 24.

  127. Sainte-Foy, «Lettre de Québec. Une découverte» inla Presse, 13 décembre 1927, p. 6.

  128. Jean-Charles Harvey, «Critique littéraire. Une opinion surGrand-Louis l'Innocent» inla Revue moderne, vol. IX, no 9, juillet 1928, p. 9.

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«Le discours de la critique sur les œuvres étrangères: littérature comparée, esthétique de la réception et histoire littéraire nationale» inRomanistische Zeitschrift für Literaturgeschichte, vol. 1, no 3, 1977, p. 336.

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Chartier, D. La nationalisation littéraire de l'œuvre de Marie Le Franc. Neohelicon 22, 217–238 (1995). https://doi.org/10.1007/BF02093297

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