Plan

Chargement...
Couverture collection

La conceptualisation en histoire au lycée : une approche par la mobilisation et le contrôle de la pensée sociale des élèves

[article]

Année 2004 147 pp. 57-67
doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 57

Revue Française de Pédagogie, n° 147, avril-mai-juin 2004, 57-67 57 Toute didactique s’intéresse à la nature des concepts de la discipline enseignés en classe et à leur mode d’appropriation par les élèves. Une étude de l’ensemble des écrits produits en classe d’histoire par des élèves de Seconde, aussi bien lors des séances en classe que des évaluations, signale l’une des voies possibles de la conceptualisation en histoire (1). Le modèle de «la double germination des concepts scientifiques et des concepts quotidiens » de Vygotski offre à cet égard un modèle d’analyse particulièrement efficace de ce qui se passe quand les élèves écrivent longuement pour s’approprier le savoir. On sait en effet que l’apprentissage ne peut se réduire à la transmission directe aux élèves des concepts de la discipline mais que l’appropriation d’un concept implique sa compréhension progressive «à partir d’une représentation confuse, son emploi par l’enfant lui-même et, en bout de chaîne seulement, son assimilation effective » (Vygotski 1934, p. 280). C’est ce cheminement complexe qui mène de la première rencontre avec un concept historique jusqu’à son assimilation par les élèves que je me propose d’étudier ici. Le questionnement sur l’apprentissage des concepts historiques renvoie plus largement à la

La conceptualisation en histoire au lycée : une approche par la mobilisation et le contrôle de la pensée sociale des élèves

Didier Cariou

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw