Figures

Chargement...
Couverture fascicule

Dédicace d'une statue d'Orsorkon Ier

[article]

Année 1925 6-2 pp. 101-117

restrictedrestricted Cet article contient des illustrations pour lesquelles nous n'avons pas reçu d'autorisation de diffusion (en savoir plus)

Avant de procéder à toute mise en ligne, les responsables des revues sollicitent les auteurs d'articles et d'illustrations pour obtenir leurs autorisations. Dans cet article, la personne disposant des droits sur les illustrations a dû refuser la diffusion libre et gratuite de son travail. Nous avons donc apposé des masques permettant de dissimuler l'illustration (et donc de satisfaire la demande de l'ayant droit) et de laisser un accès libre au texte de l'article.

doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 101

DÉDICACE D'UNE STATUE D'OSORKON I PAR ELÏBA'AL, ROI DE BYBLOS (1)

PAR

RENÉ DUSSAUD

Le musée du Louvre vient d'acquérir des fragments importants — un buste haut de 0 m. 60 (pi. XXV) et une partie de base (fig. i) — d'une belle statue, en grès rougeâtre, d'Osorkon I (vers 924-895), fils et successeur de Sheshonq I (vers 945-924), le fondateur de la XXIIe dynastie égyptienne. L'intérêt tout particulier de ce buste d'Osorkon est de porter une inscription phénicienne contemporaine du pharaon. Bien qu'on n'ait aucun renseignement sur les conditions de la découverte, nous allons démontrer que cette statue provient de Byblos.

Je dois la connaissance de ce monument à mon collègue du Louvre, M. Bo- reux, conservateur adjoint des Antiquités égyptiennes; il a bien voulu aussi me documenter sur son étrange fortune. L'égyptologue Wiedemann le découvrit à Naples, en 1881, chez le banquier Meuricoffre et il en fit mention, en 1884, dans son Histoire égyptienne &K Il en publia les inscriptions hiéroglyphiques en 1895, mais sans mentionner la présence d'une autre écriture <3). Cette circonstance n'a pas peu contribué à asseoir l'opinion que le texte phénicien avait été gravé à une époque toute récente. Bien qu'arrivé à des conclusions formelles touchant l'authenticité, j'ai tenu à écrire à M. Wiedemann, professeur d'égyp- tologie à l'Université de Bonn, en faisant appel à ses souvenirs. Le savant égyptologue m'a répondu qu'il ne pouvait préciser des souvenirs remontant à quarante-quatre ans. Il se rappelle seulement les conditions défectueuses dans

(*) Communication faite à l'Académie des dans Sphinx, XVI (1912), p, 14); cf. Gau-

Inscriptions le 13 lévrier 1925. Nous y insé" thier, Livre des rois d'Egypte, III (1913),

rons quelques compléments à la suite d'un p. 327. M. Boreux a constaté que, si les hiéro-

voyage a Beyrouth. glyphes du buste, du pilier dorsal et de la base

(*) Wiedemann, Aegypt. Geschichtë, p. 553. se retrouvent intacts, tels que les a publiés

(3) Recueil de travaux, XY1I (1895), p. 14, et Wiedemann, ceux de la ceinture ont disparu

Stru.. — VI. 13

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw